c'est ici que commence mon histoire

NOM : gilbert. PRÉNOM(S) : elena. ÂGE : 18 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 22 juin à Mystic Falls. NATIONALITÉ : américaine. EMPLOI/ÉTUDES : lycéenne. STATUT AMOUREUX : célibataire mais c'est compliqué. SITUATION SOCIALE : normal. CARACTÈRE : souriante. sensible. attentionnée. protectrice. compréhensive. douce. bornée. trop gentille. un peu naïve. compatissante. franche. GROUPE : humains. CÉLÉBRITÉ : nina dobrev.

on est tous différents
elle est le double de Katherine. ◮ elle veut devenir écrivain mais elle a quelque peu oublier ce rêve. ◮ elle tient un journal intime. ◮ elle a été adoptée. ◮ elle ne veut absolument pas devenir un vampire. ◮ elle a été pom-pom girl. ◮ elle a toujours son portable sur elle. ◮ elle s'investit énormément dans les évènements de la ville comme le faisait sa mère adoptive. ◮ elle est sportive, elle aime courir. ◮ elle adore la café, elle aime pouvoir boire sa tasse tous les matins. ◮ elle ne veut plus perdre quelqu'un de son entourage. ◮ elle adore le bleu. ◮

TA VIE ET LE SURNATUREL ◮ Les être surnaturels ne me dérangent aucunement. J’ai appris à vivre parmi eux et au final, ils ne sont pas si différents de nous. Et puis je fais partit de ce monde surnaturel étant moi-même l’un d’eux. Je ne sais pas si le monde serait mieux sans eux, mais moi, pour l’instant, je ne veux pas perdre mes meilleures amies ou encore les Salvatore. C’est vrai que la vie serait plus facile loin de ce calvaire. Mais il faut savoir s’adapter et je me suis faite à l’idée que je vis dans un monde dangereux.

Citation :

PSEUDO/PRÉNOM : fanlovedean. ÂGE : vingt-trois. PAYS : france. TU AS DÉCOUVERT DS SUR : par stefan. TAUX DE PRÉSENCE : 7/7i. TON AVIS SUR WOS : j'adoore (a) . UN DERNIER MOT : longue vie au forum.

bienvenue sur les pages de mon journal intime
Tranquillement installée contre ma fenêtre, j'ouvrais mon journal intime. « Cher journal, aujourd’hui tout va changer, il le faut. Je vais sourire et ce sera crédible. Ce sera un sourire qui leur dira : « Je vais bien, merci ». Oui, c’est bon tout va bien mieux. Terminé la pauvre petite qui a perdu ses parents. Je vais prendre un nouveau départ, être quelqu'un d’autre. C’est la seule façon de m’en sortir. » Je refermais mon recueil, le cachant là où personne ne pourrait le trouver. La mort de mes parents dans cet accident de voiture a été un choc terrible. Il m'a fallut du temps pour m'en remettre surtout en sachant que j'étais la seule survivante de ce drame. Je n'ose même plus me rendre sur ce pont. ll fait naître en moi cette peur. et puis, il me rappelle ce mauvais souvenir qui ne fait que me hanter. Jenna est là. Mon adorable tante et notre tutrice désormais. elle veut jouer son rôle à merveille mais on remarque bien qu'elle est complètement déboussolée. je ne peux pas lui en vouloir, ça lui tombait dessus d'un seul coup comme Jeremy et moi. Fin d'une première journée de cours. Je suis là dans le cimetière, près de leur tombe. Mon journal entre les mains et me voilà à nouveau entrain d'écrire. « Cher journal, j’ai fait semblant tout au long de la journée et j’ai dû dire « tout va bien, merci beaucoup » au moins 37 fois sans jamais penser ce que je disais, ce dont personne ne s’est aperçu d’ailleurs. Quand les gens vous demandent comment ça va, ils ne sont pas une seconde intéressés par votre réponse. » C’est tellement facile de mentir plutôt que dire la vérité. Pourtant, ça ne supprime pas la tristesse au contraire, ça l’enferme au fond de nous. Peut-être que je devrais faire comme Jeremy et me mettre à me droguer. Ça serait la plus idiote des choses surtout quand je ne vais que sermonner mon frère sur cette partie de sa réaction. On ne réagit pas tous pareil. C’est comme ça. D’un seul coup, un corbeau s’installa sur la tombe de mes parents. « Ok, salut le corbeau. Un chouillat flippant ta réponse. » dis-je en apercevant un brouillard s’emparait du cimetière. Etrange et flippant. Je me lève pour faire déguerpir l’oiseau. Signe de malheur à ce qu’il parait. Il disparaît. Mais lorsque je me retourne, je l’aperçois encore. Ça n’a aucune importance, ce n’est qu’un maudit oiseau, rien de plus. J’attrape mon sac et commence à partir. J’ai l’impression qu’on me suit et puis avec ce brouillard, ça n’arrange pas vraiment les choses. Une silhouette se dessine. Je ne perds pas de temps, je cours. Et zut, mon pied se prend dans une branche. La chute. Ça arrive constamment quand on ne le veut pas. Je me redresse et me retourne pour voir si l’homme est toujours là. « Ça va ? » me dit le nouveau du lycée. « Je rêve, tu me suivais ? » C’est la seule question, que je trouvais à lui dire. Si c’était lui qui trainait dans le coin et bien, il m’avait fait une sacrée peur. « Non, j’étais… je t’ai vu tomber. » Ça me semblait étrange. Il était rare que je croise quelqu’un ici. C’est pour ça que j’aimais m’y rendre. La tranquillité y régnait et puis, c’est comme si j’avais mes parents tout près de moi. « Et justement, comme par hasard tu rodais dans le cimetière. » « Si tu tiens à le savoir, j’ai de la famille ici. » Je me sens totalement idiote d’avoir cru qu’il était à ma poursuite. C’est de la faute de ce brouillard et ce corbeau, ça fait naitre en moi, une peur qui n’avait rien à faire là. « Oh, ouah, désolé, j’ai manqué de tact là. C’est ce brouillard, ça m’a vraiment fait un sale effet et là-bas y’avait une espèce de corbeau et c’est devenu très hitchcockien pendant un instant, genre ce fameux film sur les oiseaux, tu sais ce Hitchcock ? » m’excusais-je en souriant. « Je suis Elena. » Il avait beau être dans la même classe que moi, je ne savais que son prénom. Et oui, cours ensemble, l’oblige un peu quand le professeur fait l’appel. C’était vraiment idiot de ma part. Mais quand vient un silence, il faut bien sortir quelque chose. « Moi Stefan. » Il s’approche de moi et je le vois me retirer une feuille de mes cheveux. Très certainement, qu’elle est arrivée lorsque j’étais chutée. « Merci. » le silence complet. On se regarde. Je cherche ce que je pourrais lancer pour rompre le silence. Puis je pose mes yeux sur sa bague. Une conversation sur ce bijou s’entame. Trois secondes pas plus. Et voilà qu’il y a un nouveau blanc. Il regarde ma jambe. « Est-ce que tu es blessée ? Tu t’es blessée ou pas ? » Je n’avais même pas fait attention. « aucune idée. » Je devrais peut-être vérifier. Je pose ma jambe sur une pierre qui se trouve près de moi. Lentement, je lève mon jeans. Je saigne. « Non mais regarde ça ! Oh ce n’est pas joli à voir. » lançais-je. Bien que ce n’était pas non plus la fin du monde. Il ne regarde pas ma blessure et tourne sa tête. « Eh, ça va ? » « Tu devrais y aller, il faut désinfecter. » « Oh c’est bon. » dis-je en regardant une nouvelle fois la blessure. Je baisse mon jeans et me redresse. Plus personne. Il s’est envolé comme le vent.


Dans ma chambre. Exactement à la même place où je me mets tous les soirées afin d’écrire dans mon journal. Mon stylo entre les mains, je laisse mon cœur se posait sur les pages blanches. « Cher journal, comment j’ai pu me tromper à ce point. Et dire que je croyais m’en sortir avec des sourires et des « salut ça va ? » en faisant semblant d’aller bien» J’avais tout prévu, je voulais changer ce que j’étais au fond de moi, me créer une nouvelle identité, une nouvelle vie, un nouveau moi débarrassé de ce passé « de cette douleur » je regarde pas la fenêtre. « devenir quelqu’un de vivant. Mais ce n’est pas facile les vieilles blessures peuvent se rouvrir. » se rappeler à toi. Mais je ne peux pas y échapper, malgré tous mes efforts. « Tout ce qu’on peut faire c’est s’attendre au meilleur et s’il arrive, accepter de le recevoir. On en a tellement besoin, j’en ai tellement besoin. » Je regarde une nouvelle fois par la fenêtre. Je suis surprise de voir Stefan. Je referme mon journal et me lève pour aller lui ouvrir. Je pose ma main sur la porte et ouvre. « Je sais qu’il est tard mais je tenais à savoir si ça allait. » Il est là à me demander lui aussi si je vais bien. Pourquoi les gens veulent-ils savoir surtout si c’est juste par politesse. Ils devraient savoir que perdre ses parents n’est pas une perte simple et que l’on ne s’en remet pas d’un claquement de doigts. « Ecoute, depuis l’accident la même question revient en permanence : « ça va tu t’en remets ? » « Et tu réponds quoi ? » « C’est bon ça va. » « sans le penser ? » « redemande-moi demain. Tu ne veux pas qu’on aille à l’intérieur pour parler ? tu veux bien entrer ? » « Avec plaisir.» Je laisse entrer dans la maison puis je ferme la porte.



« Je dois faire quelque chose. Ça ne peut pas arriver. » Il faut que je trouve la solution. Je ne veux pas que ça arrive. Je ne veux perdre personne à qui je tiens. Klaus et Stefan reviennent. Je ne veux pas que Jenna et je ne veux pas que Stefan prenne sa place. Je veux pouvoir me réveiller et me dire que ce n’était qu’un cauchemar de plus. « Vous savez, c’est drôle. Toute cette discussion sur la préservation de la famille et puis voici que Stefan réalise votre souhait.» Je regarde Stefan. « Stefan ? » « C’est bon. » Comment peut-il dire ça alors qu’il a demandé à Klaus de prendre la place de Jenna pour le sacrifice. « Alors Elena qui choisis-tu ?» Klaus était la plus affreuse de créature. Et sa question ne faisait qu’empirer la situation. Faire un choix entre Jenna et Stefan. C’est impossible ! Je tiens à eux deux plus que tout. Je ne veux pas en perdre un. Je ne vois pas ma vie sans un des deux. Non. « Non. » lâchais-je sèchement. Je ne ferais pas ce choix. Je ne serais pas l’épée de Damoclès au-dessus de leur tête. « Oh, ne t’en fais pas. Tu n’as aucun choix à faire. » D’un seul coup, il plante un pieu dans le dos de Stefan. Il laisse le bout de bois dans le corps de mon petit-ami. Je suis sous le choc que je ne peux m’empêcher de crier un non. « J’ai d’autres plans pour ton petit-ami. Je le veux vivant. Mais pour le moment… » dit-il en frappant Stefan qui tombe sur le sol inconscient. Je regarde l’originel qui parle à la sorcière qu’il utilise pour son sort. L’anneau de feu autours de Jenna s’éteint. Il ose lui dire que c’est son tour. je cris. Je ne veux pas assister à ce spectacle. Je ne veux pas que ça arrive. « C’est bon, Elena. Je sais ce que je dois faire. » Ma tante se sert de ces nouvelles capacités pour se diriger droit sur la sorcière. Elle la mord. Seulement, elle n’est pas assez rapide. Klaus la stoppe dans son élan en lui plantant un pieu sur le côté. Elle tombe sur le sol et me regarde effrayée. Les larmes dégoulinent sur les joues. « Tourne-toi Jenna. Tourne-toi. Tu ne seras plus effrayée désormais. » Jenna meurt sous mes yeux, sous le pieu qu’il lui plante en plein cœur. Je cris. Et les larmes se font plus importantes. Stefan émerge et voit le corps de ma tante sans vie. « Je suis désolé. » murmure-t-il. Je veux qu’il tue Klaus alors je ne peux m’empêcher de lui demander. Il répond oui. Bien que ça n’efface pas mes larmes, je suis ravie de cette réponse. Je veux qu’il paye pour ce qu’il a fait Jenna. L’originel s’approche de moi. « C’est le moment. » Le feu autour de moi s’éteint. Il me tend une main que je n’attrape pas. Je me lève seule, l’ignore pour venir me mettre sur l’autel juste à côté du corps sans vie de ma tante. Je le sens tout près de moi. Ses mains se posent sur mon visage. « Merci Elena. » « Va en enfer.» furent mes derniers mots. Ses crocs se plantent dans mon cou et je sens le sang se retirer lentement. Je regarde Stefan une dernière fois avant de tomber sur le sol froid.


Je porte une robe noire, les cheveux relevés pour former une espèce de chignon. Je finis mettre mes boucles d’oreille en regardant les photos accrochées à ma coiffeuse. Celle de maman et papa. Et une autre de Jenna. Mon frère est splendide dans son costume. « je suis presque prête.» lui dis-je en voyant qu’il m’attend. « prend ton temps. » Il me tend une lettre. Je l’attrape, ne sachant pas de qui elle est. . « John a voulu que je te donne ça. Et ça. » Il me tend la bague de la famille Gilbert. La même bague que porte Alarick. Une bague magique qui sauve la personne qui la porte si elle est tuée par un être surnaturel. «Jeremy…. Je suis désolé…. Je suis désolé que tu es perdu tant de personnes.» « Je t’ai encore. » Il prend dans ses bras. Je le sers fort en posant ma tête contre son épaule. Je dois être forte pour lui. Il est la seule famille qu’il me reste. Je le protégerais quoiqu’il arrive parce que je ne veux pas le perdre non plus. il quitte ma chambre. Et moi j’ouvre la lettre de mon père biologique. « Elena, ce n’est pas une tâche facile d’être un parent ordinaire quand on a un enfant extraordinaire. J’ai échoué dans ma tâche. Et à cause de mes préjugés, je t’ai ratée. Je me demande comment aurait été les choses si tout c’était passé différemment. Si j’avais été capable d’entendre ta notion des choses. Pour moi, c’est la fin. Pour toi, une chance de vieillir et un jour faire mieux avec tes propres enfants que ce que j’ai fait moi. C’est pour ton enfant que je donne cet anneau. Je ne demande pas ton pardon, ni d’oublier ce que j’ai fait. Je demande seulement que tu me croies. Si tu lis cette lettre en tant qu’une humaine ou en tant que vampire, je veux que tu saches ça que ça m’est égal car je t’aime et je t’aimerais toujours. John. »

merci (a)